L'ABSENCE DE GUERRE
Texte de David Hare
Mise en scène de Olivier Boudon
Avec : Lise Wittamer, Didier de Neck, Lucas Meister, Guillaume Alexandre, Renaud Garnier Fourniguet, Sophie Maillard, Laurent Staudt et Anne-Marie Loop
Scénographie : Olivier Wiame
Son : Laurent Gueuning
Lumières : Xavier Lauwers
Costumes : Carine Duarte
Assistant à la mise en scène: Laurent Staudt.
L’Absence de guerre fait partie de ces pièces qui nous emmène à l’intérieur de ce qu’il nous est rarement possible de voir. Ecrite en 1993 par David Hare, auteur prolifique qui marque notre époque, elle s’inspire de la réalité d’une campagne électorale menée par le camp travailliste anglais. L’écriture est cinématographique, riche, très détaillée, permettant ainsi de transporter le spectateur à l’endroit de la conquête du pouvoir, dans un tumulte où s’entrechoquent la destinée d’un homme, George Jones, le candidat travailliste, et celle d’un Parti de gauche où les valeurs sont à ré-inventer et à re-vendiquer. La pièce ne se limite cependant pas à l’analyse politique. Jean Gabin disait que « pour faire un bon film, il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire » et David Hare en est bien l’héritier. Les personnages de L’Absence de guerre se développent en profondeur et en densité, à commencer par notre « héros », avec qui le spectateur entretien une relation complexe et nuancée.
Le choix de cette pièce advient au bout de deux années de recherches et de résidences passées avec ma compagnie, autour de la question de notre réappropriation du politique. Le désenchantement qui règne dans notre rapport à la vie démocratique et la « modernisation » de la fonction politique constitue le socle de notre réflexion et de notre travail de recherche scénique. Suivant cette démarche, L’Absence de guerre est venu cristalliser, par la forme shakespearienne de son histoire, ce qui nous anime et nous questionne. Ce qui se trame dans la pièce nous renvoie en effet sans cesse aux débats de notre temps et, comme jamais, les batailles politiques qui s’y jouent sont toujours d’actualité.
Une production de la Schieve Compagnie. Réalisé avec l’aide du Ministère de la Culture de la FWB - Service du Théâtre. Avec le soutien de la Commission communautaire française de la Région bruxelloise / Fonds d’Acteurs.
Un accueil en résidence du Théâtre Océan Nord. Avec l'aide de la Cocof/Fonds d'acteurs.
L’Auteur est représenté dans les pays francophones européens par Renauld & Richardson, Paris (info@paris-mcr.com), en accord avec l’Agence Casarotto Ramsay & Associates Ltd, Londres.
Texte de David Hare
Mise en scène de Olivier Boudon
Avec : Lise Wittamer, Didier de Neck, Lucas Meister, Guillaume Alexandre, Renaud Garnier Fourniguet, Sophie Maillard, Laurent Staudt et Anne-Marie Loop
Scénographie : Olivier Wiame
Son : Laurent Gueuning
Lumières : Xavier Lauwers
Costumes : Carine Duarte
Assistant à la mise en scène: Laurent Staudt.
L’Absence de guerre fait partie de ces pièces qui nous emmène à l’intérieur de ce qu’il nous est rarement possible de voir. Ecrite en 1993 par David Hare, auteur prolifique qui marque notre époque, elle s’inspire de la réalité d’une campagne électorale menée par le camp travailliste anglais. L’écriture est cinématographique, riche, très détaillée, permettant ainsi de transporter le spectateur à l’endroit de la conquête du pouvoir, dans un tumulte où s’entrechoquent la destinée d’un homme, George Jones, le candidat travailliste, et celle d’un Parti de gauche où les valeurs sont à ré-inventer et à re-vendiquer. La pièce ne se limite cependant pas à l’analyse politique. Jean Gabin disait que « pour faire un bon film, il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire » et David Hare en est bien l’héritier. Les personnages de L’Absence de guerre se développent en profondeur et en densité, à commencer par notre « héros », avec qui le spectateur entretien une relation complexe et nuancée.
Le choix de cette pièce advient au bout de deux années de recherches et de résidences passées avec ma compagnie, autour de la question de notre réappropriation du politique. Le désenchantement qui règne dans notre rapport à la vie démocratique et la « modernisation » de la fonction politique constitue le socle de notre réflexion et de notre travail de recherche scénique. Suivant cette démarche, L’Absence de guerre est venu cristalliser, par la forme shakespearienne de son histoire, ce qui nous anime et nous questionne. Ce qui se trame dans la pièce nous renvoie en effet sans cesse aux débats de notre temps et, comme jamais, les batailles politiques qui s’y jouent sont toujours d’actualité.
Une production de la Schieve Compagnie. Réalisé avec l’aide du Ministère de la Culture de la FWB - Service du Théâtre. Avec le soutien de la Commission communautaire française de la Région bruxelloise / Fonds d’Acteurs.
Un accueil en résidence du Théâtre Océan Nord. Avec l'aide de la Cocof/Fonds d'acteurs.
L’Auteur est représenté dans les pays francophones européens par Renauld & Richardson, Paris (info@paris-mcr.com), en accord avec l’Agence Casarotto Ramsay & Associates Ltd, Londres.