QUARTIER 3, DESTRUCTION TOTALE
Texte de Jennifer Haley
Mise en scène de Olivier Boudon
Avec : Lise Wittamer, Stephane Fennochi, Lucile Charnier, Lode Thiery
Scénographie : Olivier Wiame
Vidéo : Bruno Tracq
Son : Loup Mormont
Lumières : Xavier Lauwers
Costumes : Carine Duarte
Assistant à la mise en scène: Laurent Staudt.
La pièce décrit au fil des scènes la tentative d'un groupe d'adolescents d'atteindre le dernier niveau – "La Maison Finale" – d'un jeu vidéo se déroulant dans une réalité virtuelle. L'action de ce jeu ultra-violent se passe dans une banlieue américaine, à l'identique de celle dans laquelle vivent réellement les joueurs; il est habité de zombies que les joueurs doivent éviter ou tuer pour progresser de niveau en niveau.
Jennifer Haley parle des univers virtuels informatiques dans l'univers virtuel du théâtre. Il y a une double identification : aux personnages de la pièce qui traversent la vie du mieux qu'ils le peuvent, aux consommateurs plus ou moins volontaires, plus ou moins heureux de réalités alternatives. Cela nous amène en miroir, en tant que spectateurs, à nous interroger sur notre propre relation à la réalité.
Une production du Théâtre de Poche, avec la participation du Centre des Arts Scéniques ainsi que l’aide de la Schieve Compagnie.
Pièce traduite à l'initiative et avec le soutien de la Maison Antoine Vitez – Centre international de la traduction théâtrale à Paris.
Texte disponible aux Editions Espaces 34.
Texte de Jennifer Haley
Mise en scène de Olivier Boudon
Avec : Lise Wittamer, Stephane Fennochi, Lucile Charnier, Lode Thiery
Scénographie : Olivier Wiame
Vidéo : Bruno Tracq
Son : Loup Mormont
Lumières : Xavier Lauwers
Costumes : Carine Duarte
Assistant à la mise en scène: Laurent Staudt.
La pièce décrit au fil des scènes la tentative d'un groupe d'adolescents d'atteindre le dernier niveau – "La Maison Finale" – d'un jeu vidéo se déroulant dans une réalité virtuelle. L'action de ce jeu ultra-violent se passe dans une banlieue américaine, à l'identique de celle dans laquelle vivent réellement les joueurs; il est habité de zombies que les joueurs doivent éviter ou tuer pour progresser de niveau en niveau.
Jennifer Haley parle des univers virtuels informatiques dans l'univers virtuel du théâtre. Il y a une double identification : aux personnages de la pièce qui traversent la vie du mieux qu'ils le peuvent, aux consommateurs plus ou moins volontaires, plus ou moins heureux de réalités alternatives. Cela nous amène en miroir, en tant que spectateurs, à nous interroger sur notre propre relation à la réalité.
Une production du Théâtre de Poche, avec la participation du Centre des Arts Scéniques ainsi que l’aide de la Schieve Compagnie.
Pièce traduite à l'initiative et avec le soutien de la Maison Antoine Vitez – Centre international de la traduction théâtrale à Paris.
Texte disponible aux Editions Espaces 34.